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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 11:46

Assises-ConclusionL'avenir de la GLNF: l'affaire de tous..................

 

Très loin des arguties, des manoeuvres dilatoires, des errements judiciaires de l'ex GM et de son dernier carré d'affidés,

Nous vous proposons, comme nous vous l'annoncions le Le LIVRE BLANC POUR LA REFONDATION DE LA GLNF  à l'adresse suivante: http://livre-blanc.over-blog.com/

 

Vous êtes fraternellement invités à apporter contributions et témoignages à l'adresse suivante:

livre.blanc2011@gmail.com 

 

Tous les avis nous intéressent. C'est tous ensemble que nous devons  nous pourrons jeter les bases de notre GLNF, dans le respect absolu des us et coutumes qui furent les notres, et qui ont été foulés aux pieds depuis 1997.

 

Les profanes sont bientôt hors du Temple: gardez espoir.

 

Voici le dernier article paru:

 

Elire certains officiers est-ce rompre avec la Tradition ?

Il a donc été établi[1] que l’obédience ne pouvait nullement se confondre avec l’Ordre maçonnique dont elle exerce la « simple » charge du gouvernement[2]. Mais de quelle forme celui-ci doit-il se pourvoir ? Sommes-nous, de par le caractère traditionnel de notre démarche, enfermés dans un pouvoir oligarchique voire autocratique ou est-il possible d’en espérer un autre garantissant l’essentiel et ramenant l’harmonie née de la reconnaissance réciproque de l’autorité ?

 

« Mes frères, de temps immémorial, en vertu de la coutume maçonnique, chaque Loge, une fois par an, à une époque déterminée, choisit, parmi ceux qui ont été surveillants, un frère expérimenté pour les présider en qualité de Maître de la Loge. » C’est ainsi que démarre au Rite Emulation comme au Rite Français qui l’a repris, la cérémonie qui va conduire un nouveau Vénérable Maître dans la chaire du Roi Salomon. Les frères de la Loge ont donc choisi librement par une élection (comme pour les autres Rites)  un frère « expert en l’Art Royal » pour les diriger. Ils ont reconnu parmi eux celui qui possède les qualités nécessaires à cette haute fonction, leur confiance lui est acquise et ils vont donc se soumettre sans regimber à son autorité, d’autant plus forte qu’elle est fondée sur la réciprocité de la reconnaissance. Elle s’accompagne aussi de la garantie reçue de celui qui les préside, que les frères pourront se livrer à leurs travaux en toute sécurité et qu’ils recevront l’instruction attendue dans le respect de leur Rite et des principes de l’Ordre maçonnique.

 

L’élection des Vénérables Maîtres, que nul ne conteste, illustre le caractère traditionnel des relations d’interdépendance définissant une place pour chacun et l’importance de tous dans la construction de l’édifice.  Ce principe n’est nullement démocratique puisqu’il consacre, en raison des clauses spécifiques d’éligibilité, non le gouvernement par tous, mais par ceux dont les qualités ont été reconnues par chacun, une forme, tempérée par la sagesse, d’aristocratie.

 

De la même manière, ne serait-il pas envisageable que les Vénérables Maîtres, seuls chefs de l’Ordre, procèdent à leur tour à la désignation des officiers qui dans l’obédience occupent les fonctions de gouvernement ? Loin de rompre avec la Tradition, cette modalité renforcerait le lien entre l’Ordre dont les premiers sont garants et l’obédience que les seconds servent. D’ailleurs jusqu’aux statuts de 1997, il n’était point question pour les délégués des Loges de simplement ratifier la nomination du Grand Maître proposé par le Souverain Grand Comité, mais de le désigner par un vote[3]<!--[endif]--> en assemblée plénière. On constatera donc une fois de plus la déviation opérée en 1997 par des modifications qui peut-être au motif de renforcer la cohésion de l’édifice face à la croissance numérique n’a pas su ou voulu nous prémunir contre la tentation et les dérives autocratiques.

 

En souhaitant que les Vénérables Maîtres élisent les Grands Maîtres Provinciaux, qui à leur tour participent à la désignation du ou des candidats à la Grande Maîtrise proposé(s) à l’élection par les délégués des loges, nous affirmons maintenir le caractère traditionnel de l’obédience conçue comme un corps vivant au sein duquel chaque organe est interdépendant. Cette évolution réclamée par de très nombreux frères, loin d’introduire le germe diviseur d’une démocratie profane mal comprise en la circonstance, refonderait notre obédience sur un des premiers enseignements proposé à l’apprenti : « mes frères me reconnaissent pour tel ».

 

La revendication de liberté trouverait son expression dans une autorité légitimée par la libre volonté et assurée de l’obéissance du libre consentement.

 

 

AUCUNE COTISATION N'EST DUE

 

 

 

fmr-bulletindadhesion

 

 

 

 

 

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