Résultat du scrutin: 61% contre
Le gourou de la GLFS a reçu ce qu'il mérite, une bonne fessée sur les quatre joues.
Il est vraiment rejeté par tous, magré tous les bidouillages, depuis l' AG pluri traficotée jusqu' à l' AG bis de Saint-Denis en passant par la salle de sport de Levallois (qui a necessité la présence de deux compagnies de CRS) ... Un seul mot d'ordre: DEHORS !
Mais, celle qui tire son épingle du jeu celle qui a su naviguer dans les eaux troubles de la GLFS c'est Monique.
Plus d'un an avant de faire la première AG qui aurait du être sans délai !
Pas de communication du grand livre.
Présentation de comptes très approximatifs qui présentent de façon biaisée la réalité de l'obédience.
Approbation d'un rapport moral calamiteux...
C'est elle qui se maintien et encaisse le bénéfice de son action déplorable.
La GLNF, elle, elle s'en fout, par contre du pognon, non ...
Monique: chapeau !
Mais la non ratification de celui qui se présentait pour la nième fois est loin de régler les problèmes.
Tout d'abord, comme on connait le personnage, sa non ratification, il s'en moque comme de son tablier d'apprenti.
Ce n'est pas parce qu'il est désavoué qu'il doit partir, et ce pour une raison très simple, la non raification n'est pas une chose prévue par les statuts et règlements.
Donc, si ce n'est pas prévu, cela n'existe pas. C'est pourtant simple.
Ensuite ceux qui s'agitent se regroupent maintenant en une force faite de bric et de broc, entre l'inventeur du "lien ultime entre Dieu et les hommes" et celui qui n'a pas eu le courage de se lever le 9 décembre et qui s'accomode parfaitement bien des statuts en vigueur.
Tout cela n'augure rien de cohérent.
Enfin ceux dans l'ombre, à commencer par A. Cano, qui a déjà piqué de sérieuse banderilles sur les épaules de son coach...
Non, rien, vraiment rien ne se profile de bon à l'horizon pour la GLNF.
Ceux qui sont partis pour fonder l'Alliance loin du marigot fangeux et des dorures d'apparat ne sont pas prêts de revenir.
Il y a donc une vraie voie substituée en maçonnerie, elle s'appelle la GLNF
Il reste peut-être une dernière voie, celle de la dissolution, comme l'a suggéré un des magistrats qui s'est penché sur le cas.