Les larmes de Monsieur S...................................
Depuis des mois et des mois, Monsieur S...s'accroche au pouvoir, comme un noyé à une improbable bouée.
De menaces en cajoleries, de roueries en fausses promesses, Monsieur S... tente encore de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Il ne s'agit pas ici d'ergoter sur tel ou tel détournement de fond, tel abus menant à la construction d'appartement somptuaire, sans rapport avec l'objet de l'association.
Non, ça c'est l'affaire de la justice, et cela viendra en son temps.
Notre affaire est "plus grave", car elle porte sur l'essence même de notre engagement.
Le brigandage dont il s'agit est celui du détournement de nos valeurs, de la confiscation de ce qu'est la maçonnerie. Du vol de la règle en douze points, etc....
Il s'agit d'un comportement qui disqualifie celui qui aurait du être un modèle de discrétion, d'écoute et de dévouement.
Il s'agit d'une telle soif de pouvoir, qu'il en arrive à diviser les Frères pour asseoir un ersatz de pseudo spiritualité.
Il est aidé en cela non pas par l'Amour Fraternel, ou la charité, vecteur du don de soi, mais par une cour de complices qui se satisfait de hochets et de dorures.
L'autre outil de son pouvoir est la menace, suivie de la sanction. Monsieur S... règne par la terreur. Dans cette affaire, ce qui est réellement le plus affigeant est la soumission de certains au pouvoir parce que c'est le pouvoir.
C'est tout simplement une aberration, un contresens à l'endroit de notre démarche.
Nous avons désiré la Lumière, et nous avons été jugés dignes parceque nous mettons notre confiance en Dieu (et non pas en un quelconque guidespirituelinfaillbleevêque) et que nous sommes LIBRES et de bonnes moeurs.
D'ailleurs, il est écrit: "la maçonnerie t'a libéré de l'ignorance, des préjugés et des superstitions. Elle t'a tiré de la servitude et de l'erreur".
C'est du brigandage de cette liberté que Monsieur S... se rend coupable.
Alors: "Malheur à ceux qui aspirent à ce dont ils sont indignes", Malheur à ceux qui assument une charge qu'ils ne peuvent pas porter".
Monsieur S... vous rendrez des comptes de tous ces brigandages.
Il appartiendra bientôt à d'autres de rendre l'honneur perdu de la GLNF.
Cet honneur bafoué à chaque temps fort de l'obédience:
- Propos et attitude injurieux lors du SGC du 4 décembre
- lynchage public de TRF qui ont dit "stop".
- Viol permanent de nos consciences
- Investissements inconséquents
- AG du 25 mars ignorée
- Faux audit des comptes
- AG pluri atomisée
- Résultats pluri tripotés
- Tentative de main mise sur les juridictions souveraines
- Disparition du Conseil de Sages
- Disparition de la tenue de Grande Loge annuelle
Tout ceci Monsieur S... veut l'effacer.
Pour pérenniser le fruit du brigandage, il nous propose, tout d'abord, avec quelques uns de ses lieutenants, le colloque des 3 et 4 décembre, puis son acte de contrition en date du 23 novembre.
A propos, ce colloque où tous les Frères sont invités à participer doit être mis en parallèle avec le motif du morcèlement de l'AG: cela devait permettre par souci d'économie et de proximité, la plus large participation des délégués au vote (2500 participants).
Là, il s'agit de réunir 38000 Frères au bas mot, et il nous est proposé comme lieu de réunion: Pisan.
Vous voyez que Monsieur S... n'est décidément pas sincère.
Alors les larmes de crocodile de Monsieur S... nous laissent de marbre.
A propos de crocodile, la GLNF a-t-elle besoin d'aller embrasser tel ou tel dictateurs africains qui méprisent les populations dont ils devraient assurer le bonheur?
Mes Frères vous sentez vous proches, en harmonie, en fraternité de coeur et d'esprit avec de tels individus ?
Non, mille fois non, nous Frères de la GLNF ne pouvons pas être
complices de ces individus. Ce, sont des oppresseurs et non des Frères, ou alors nous nous sommes trompés sur la notion de Fraternité.
Faisons tous notre examen de conscience: Ou nous sommes complices, ou nous mettons Monsieur S... et sa clique dehors.